Phantom: Requiem for the Phantom
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Phantom: Requiem for the Phantom
Ce mois d’avril va être celui des frangins Elric et de l’alchimie, ça c’est sûr. Mais il faudra aussi laisser sa chance à quelques autres titres comme le nouveau Bee Train, qui, pour une fois à l’air intéressant. Après Gonzo avec le très bon Blassreiter, Gen Urobuchi lance une nouvelle transposition d’un jeu Nitro. C’est au tour de Phantom, déjà adapté en 2004 sous forme de 3 OAV, de débarquer aujourd’hui en série TV. Phantom est l’assassin numéro 1 de l’organisation mafieuse Inferno, qui dirige la ville dans l’ombre d’une main de fer. Un jour, Reiji, un jeune japonais, est témoin d’un contrat effectué par Phantom. Il est alors kidnappé par l’organisation, qui lui laisse le choix : devenir un tueur à gages ou mourir…
Impossible de ne pas penser à Noir en voyant ce premier épisode prometteur. L’ombre du titre phare du studio Bee Train plane déjà tout autour : une tueuse femme-enfant, la relation déjà complexe entre les deux héros (de sexe opposé pour une fois !), la description d’un monde décadent, la recherche du pouvoir, l’importance de la bande son… Sans oublier le symbolisme religieux omniprésent comme dans Blassreiter. Honnêtement, c’est déjà bien plus emballant que les gamineries d’El Cazador de la Bruja ! Kôichi Mashimo réalise, comme d’habitude, et le scénario est signé Yôsuke Kuroda, qui vient juste de quitter l’univers de Gundam. Espérons qu’il soit aussi inspiré que sur le dernier succès de Sunrise. Au passage, une de ses plus belles réussites en matière de script a été sur Gungrave, autre série se déroulant dans le monde de la mafia. Ce qui n’augure que du bon, si les mauvaises habitudes de Bee Train restent au placard (lyrisme de pacotille, intrigue brumeuse, scènes d’action molle…).
Impossible de ne pas penser à Noir en voyant ce premier épisode prometteur. L’ombre du titre phare du studio Bee Train plane déjà tout autour : une tueuse femme-enfant, la relation déjà complexe entre les deux héros (de sexe opposé pour une fois !), la description d’un monde décadent, la recherche du pouvoir, l’importance de la bande son… Sans oublier le symbolisme religieux omniprésent comme dans Blassreiter. Honnêtement, c’est déjà bien plus emballant que les gamineries d’El Cazador de la Bruja ! Kôichi Mashimo réalise, comme d’habitude, et le scénario est signé Yôsuke Kuroda, qui vient juste de quitter l’univers de Gundam. Espérons qu’il soit aussi inspiré que sur le dernier succès de Sunrise. Au passage, une de ses plus belles réussites en matière de script a été sur Gungrave, autre série se déroulant dans le monde de la mafia. Ce qui n’augure que du bon, si les mauvaises habitudes de Bee Train restent au placard (lyrisme de pacotille, intrigue brumeuse, scènes d’action molle…).
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ilyesta-
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